[Couplet 1 : Schmidt]
Levé du bon pied, j’fais une entorse au règlement
Direction les WC, le tords boyaux, c’est vraiment chiant
Une fois allégé, je pose une autre brique à l’édifice
Comme Ali G à toute vitesse, choquant votre iris
Un peu d’ésotérisme, il n’y a pas de mal à se faire du bien
Fini le terrorisme, poupée vaudou devient pantin
Supercalifragilistiquexpialidocious
Beetle Juice, Beetle Juice, Beetle Juice
Salut le petit bonhomme en mouse qui fout la frousse insidious
J’ouvre la bouche, sortent des mouches, fléaux à la rescousse
Piqure de sottise, morsure de querelle, le peuple souffre
Un matin de juin, j’ai vu le king sur MTV Idole
Repose en paix, smooth criminal, que des queens idiotes
Un Jack et du son, une pelle et un trou, la vie et la mort
Schmidt Opus, livre des ombres, pour enterrer les remords
Walking Dead, marche des pingouins, guidé par le tout puissant
Mehdiator l’éternel encore des vers qui glace le sang
[Refrain x2]
Je chante, écoute le refrain
Les gens m’dégoute mais je crois à demain
D’une main, j’écris et pique avec du venin
Mon parchemin d’une épine, à la rosé du matin
[Couplet 2 : Schmidt]
Une cape et pets, je gonfle ma voile de flatulences
Aix hype story, j’ai débarqué depuis la naissance
Né en France, enfant du monde, patriote universel
A grandi dans la souffrance, tout comme un max de mal femelle
Rien ne change comme dans la haine, a quoi ça sert de se plaindre
Référence, je plante ma graine, un jour ou l’autre, née l’étincelle
Big bang théorie, Hiroshima, Nagasaki
Explosion destructrice, pas de création à Tchernobyl
Bozon de higgs, putain de particule de Dieu
Osons le dire, les patriarches avaient des yeux
T’as rien vu, rien entendu, normal, la vérité blesse
Le bas baisse, les eaux tombes, en découle la grossesse
Forte tête, déchirure, pas besoin de ta tireuse
Premier contact avec des lèvres, putain celle là est odieuse
L’odeur, j’m’en souviens plus tout comme pas mal de chose
Néfaste pour ma mémoire, j’efface mes névroses
[Refrain x2]
Je chante, écoute le refrain
Les gens m’dégoute mais je crois à demain
D’une main, j’écris et pique avec du venin
Mon parchemin d’une épine, à la rosé du matin
[Couplet 3 : Schmidt]
Dur de tourner la page, arrache la sans attendre
Un apache, cupidon, armé de flèche envoutante
Un adage, t’es bidon, normal tu fais que des ventres
Remplis de liquide sans bouchon, tu t’éventes
Tu inventes et t’évades dans un monde perdu
Kurt Cobain, Nirvana, plus de morceaux que d’jus
Roulette russe, chevrotine, une chance sur deux
Pas de suicide mais un signe pour atteindre les cieux
Ferme les yeux, ça pique, je ne fais pas dans la dentelle
Devant le fils de Dieu abdique ou je t’enveloppe dans un linceul
Un seul choix, une seule voie, sauver le monde entier
Réincarné, j’l’ai porté ma croix il y a deux milliers d’années
Fou à lier, aujourd’hui comme hier mais c’est vous les damnés
Qui vous fourvoyez de prières sans foi de bonne volonté
Vous vous voyez bien sur le matin dans la glace
Encore un trait, une rature et mon parchemin je le froisse
